Galoup
Johny Galoup aka rock’n’roll baby. Superstar à la voix grave et au charisme de badboy inégalé. Perfecto en cuir l’hiver, débardeur blanc dans le jean délavé naturellement l’été. Clope au bec, verre de whisky, et le « clac-clac » de ses santiags, Johny on ne fait pas que le voir arriver. On le sens et on l’entend aussi. (Ces éléments sont évidement retirés sur son portrait).
Il se veut comme le modèle d’une génération, d’une génération qui ne craint pas d’oser et d’essayer de nouvelles choses, quitte à se brûler les ailes. « Allumer le feu » commence-t-il « Allumer le feu de votre être intérieur et faites-le, juste faites-le ! ».
C’est vrai et c’est surmotivant. Mais que faire si on échoue ?
« C’est simple on peut faire 100 fois une chose et échouer 10 … non. On peut faire 1 fois une chose et échouer 1000… non… Bon, bref. N’abandonnez pas, c’est le plus important. »
Le début chaotique, probablement lié au fait qu’il est déjà 11h et qu’en « Johny o’clock » ça correspond à 3 doubles whiskys, peut en perdre certains, mais le message de fin est limpide. Il faut croire en nos rêves et aller les chercher. Pour ça on allume le feu et on accepte de se brûler un peu.
Après tout, on n’a jamais fait d’omelettes sans casser des œufs.
Johny Galoup aka rock’n’roll baby. Superstar with a deep voice and unrivalled badboy charisma. Leather perfecto in winter, white tank top in naturally faded jeans in summer. Cigarette in mouth, glass of whisky, and the « clac-clac » of his boots, Johny doesn’t just appear. You can feel and hear him too. (These elements are obviously removed from his portrait).
He sees himself as the model of a generation, a generation unafraid to dare and try new things, even if it means getting burned. « Light the fire », he begins, « Light the fire of your inner being and do it, just do it!
It’s true, and it’s over-motivating. But what if you fail?
« It’s simple: you can do something 100 times and fail 10 times… no. You can do something 1 time and fail 1000 times… no… Anyway. Don’t give up, that’s the most important thing. »
The chaotic beginning, probably linked to the fact that it’s already 11 a.m. and that in « Johny o’clock » that corresponds to 3 double whiskies, may lose some people, but the message at the end is crystal clear. We have to believe in our dreams and go after them. That’s why we light the fire and accept a little burn.
After all, you’ve never made an omelette without breaking some eggs.
